Tout en douceur
Veillant jusqu’à l’aurore où personne ne fuit
J’ai déposé mon cœur sur son âme cernée.
Avoir peint la douceur d’une belle journée,
Où l’iris éblouit pour admirer la nuit ;
En ma mémoire choit son sceau dans la rivière…
Pour m’éclairer d’un rire au joli lierre ombré.
Enviant cette place au crépuscule ambré,
Il est l’heureux élu si près de ma chaumière,
Ma muse sous ma plume égayant un vaurien
Car lui-même adulant ces mots d’une cadence
Nul ne l’entend battre et bien sûr d’aucune fin
La lune restera cette étoile qui danse,
Chaque nuit éclairant en son sein un soupir,
Il s’éveille au silence en mon for tressaillir.
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