La Marceline
Souviens-toi ...Forme la Marceline....Création image photofiltre ....Musique Suno IA
Souviens-toi !
Souviens-toi, du parfum sur la plage océane
J’ai croisé si souvent dans l’azur ce regard
Qui perçoit juste à l’aube un voile en filigrane
D’un délice enjoué refusant tout hasard.
Souviens-toi !
Souviens-toi de la brume où s’élève une étoile
Illuminant la nuit aux abords de nos yeux
Et surveillant la lune en son reflet sur toile
Tu peignais aux pinceaux le silence des cieux.
Souviens-toi !
Souviens-toi, mon amour quand s’envole la flamme
Et s’éteint chaque jour cet instant dans l’oubli
Arrachant à ton cœur tout espoir dans mon âme
J’aimerais conserver au fond les stimuli.
Souviens-toi !
Souviens-toi tous les mots partagés pour la vie.
Car plus rien n’a de sens, autant que nos regrets
Dont la brise partage et laisse toute envie
Quand songe en désarroi d’innombrables secrets
Souviens-toi !
Maria-Dolores
Dans le ciel ...Forme la Marceline...Création et Musique Suno IA
Dans le ciel ...
Dans le ciel, moi, j’observe une étoile éternelle
Il m’est doux de penser où son âme s’endort
Près de lui, j’espérais au bout du corridor
Voir l’éclat de lumière et la voix solennelle,
Dans le ciel.
Dans le ciel, chacun prie à l’aveu le Seigneur
Nul ne sait le pouvoir l’espoir d’une prière
Dans l’honneur qui nous lie à la nuit séculaire
Qu’un seul ange transmet vers l’Éden, un Bonheur.
Dans le ciel.
Dans le ciel, l’avenir nous sourit sous nos pas
Je reçois sa parole en toute confiance
Puis je garde en mémoire en une bienveillance
De son art émouvant laissant là tout trépas
Dans le ciel.
Dans le ciel, je ne vois qu’un amour d’espérance
Il accueille en son cœur tout désir chaleureux
Révélant le bonheur un exploit valeureux
D’un monde réjouis vers une tolérance,
Dans le ciel.
Maria-Dolores
Il s'endort...Forme la Marceline...Création Suno IA musique
Il s’endort.
Il s’endort, l’hiver couve autour d’un vent du nord.
Car personne ne voit l’espoir d’une lumière
Quand une âme s’envole en sa soif coutumière
Nul n’écoute le chant comme voix de ténor.
Il s’endort.
Il s’endort, ne faisant aucun bruit et je songe
Un instant telle une ombre, où la lune du soir
Voit, écrire un poète à l’esprit encensoir
Sur une page blanche à la plume qu’il ronge,
Il s’endort.
Il s’endort, mais chacun sait y voir un chemin.
Qu’il soit bon ou mauvais, il connaît la tendresse.
En ses mots chaque fois que pose une caresse
Sur son cœur troubadour, d’un aveu dès demain.
Il s’endort.
Il s’endort toutefois proche de cette rive
Où, la nuit, vient veiller, j’observe dans ses yeux
Le silence anormal dans la ville des cieux
Et dès lors, il est temps de croire une dérive,
Il s’endort.
Maria-Dolores
Garde moi...Forme la Marceline...Création photofiltre
Garde moi
Garde moi, près de toi si tu penses à partir
Sans savoir si l’on rêve un matin sous l’ivresse
J’ai saisi tous les mots que souvent l’on caresse
Évitons toute crainte aujourd’hui d’en pâtir,
Garde moi.
Garde moi, dans ton cœur une place à venir
Trouve donc le chemin que fera ta pauvre âme
Ainsi que le désir dont je vis telle flamme
Afin de mériter l’espoir dans l’avenir.
Garde moi.
Garde moi sous l’azur, l’horizon méditant
Ton regard qui se pose au-dessus d’un nuage
Et ton esprit fait corps sous l’attrait d’un sillage.
Le trésor d’un sourire enchante l’océan
Garde moi.
Garde moi, mon amour de ce triste corbeau
Or, l’élan de nos cœurs résume la fragrance
D’une rose enivrée en ce parfait silence
Nous rêvons désormais, au delà d’un tombeau
Garde moi…
Maria-Dolores
La lune au soir ...Forme le Marceline...Création photofiltre
La lune au soir
La lune au soir, vois -tu ? ne crains pas le silence
Je perçois bien souvent le besoin de veiller
Sur ton sommeil j’entends murmurer en cadence
Le balancier soumet le temps de réveiller
La lune au soir.
La lune au soir, m’invite au chemin de la vie
Et je doute au destin émergeant dans la nuit
Espérant tous les jours qu’il vienne avec l’envie
Sans savoir si je vais rencontrer un ennui
La lune au soir.
La lune au soir renaît au matin dans ta paume
Et je me couche enfin dès que vient le soleil
Or, je pose les maux pour toujours comme un baume
On ressent le parfum d’une fleur à l’éveil
La lune au soir.
La lune au soir, cherche partout la rare étoile
Sous la vague océane où s’étend un désert
Elle voyage autour de la terre et d’un voile
Lance au vent vers l’atoll, dont le ciel est couvert
La lune au soir
Maria -Dolores