Sonnet à refrains
Jardin....Forme le sonnet à Refrains ....Création photofiltre...Musique son IA
Jardin...
J’invente un lieu de vie où s’éveille la rose.
Dans un monde éternel dont je garde l’espoir
Il est si merveilleux quand se lève en osmose.
La lune au crépuscule en silence du soir.
J’invente un lieu de vie où s’éveille la rose.
Or, parfois, je ressens cette vague océane
Où raisonne la nuit le ressac hasardeux ?
Sur l’aveu d’un bel ange élégance diaphane
Quand enfin, je m’endors à l’encre de tes yeux
Or, parfois, je ressens cette vague océane.
Respirant l’univers dans la douce fragrance
Car je sais à l’instant s’élève le flambeau
Que conforte le ciel au temps l’indifférence ?
Respirant l’univers dans la douce fragrance.
Nomme-moi mon aimé dans l’oubli de l’ivresse
Inutile de vivre au-delà d’un tombeau
Quand l’Éden me renvoie au loin pour forteresse
Nomme-moi mon aimé dans l’oubli de l’ivresse.
Maria-Dolores
Satyre....Forme le sonnet à Refrains...Création photofiltre ...
Satyre
Il cherche encore, un avenir, auprès de toi.
Réfléchis de nouveau pour prôner l’indulgence
Il sait bien que tu n’es que pardon et silence.
Lui, seul croit devenir ce princier un grand roi.
Il cherche encore, un avenir, auprès de toi.
Ô maman, je le vois te trahir à tout-va !
Penses-tu qu’il est mieux de garder cette place ?
Je n'entends que tes pleurs. Lui demeure de glace.
Tu peux bien lui montrer ton esprit de Diva.
Ô maman, je le vois te trahir à tout-va !
Écoute le rager contre nous et la vie
Il en veut à ce monde et noyant toute envie.
Dans l’alcool et la drogue, il ne peut que mourir.
Écoute le rager contre nous et la vie.
Je me dis par les mots, je tuerais tout satyre.
Qu’il me faudra crier puis souvent secourir
Ces femmes sous la loi du malin qui s’inspire
Je me dis par les mots, je tuerais tout satyre !
Maria-Dolores
Si je dois ! ...Forme le sonnet à Refrains...Création ...Musique Suno IA
Si je dois !
Je n’imaginais plus dans l’ivresse le temps,
Le royaume infini sous l’étoile d’une âme
Arpenter l’insolite au regard d’une flamme
Laissez-moi rêvasser lors du soir, les instants.
Je n’imaginais plus dans l’ivresse le temps.
Offrez-moi la candeur le matin, vos caresses
Au retour d’un désir, troublante volupté
Et cherchant sous l’éther un vers d’humanité
Pour tracer sous vos doigts l’art de grandes largesses
Offrez-moi la candeur le matin, vos caresses.
Nul ne dit, si je dois ranger mon souvenir.
D’où me berce parfois de douceur l’avenir
Même si d’un regret, je redoute mes larmes
Nul ne dit, si je dois ranger mon souvenir.
Devinez mon émoi quand je dors dans vos bras.
En versant largement une part de mes charmes
Quand se tait le rêveur aux voiles de nos draps
Devinez mon émoi quand je dors dans vos bras.
Maria-Dolores
Ton sourire...Forme le sonnet à Refrains...Création photofiltre et musique SUNO IA
Ton sourire...
Lors à l’aube du temps, j’observe les nuages,
Qui se noient dans le ciel sous l’azur reflété
Dans la mer aux couleurs d’un soleil entêté
Où vont fuir nos ardeurs au-delà des rivages.
Lors à l’aube du temps, j’observe les nuages.
Retrouve tous les mots pour charmer mon esprit
Réveiller le silence en ton âme éternelle
Car tu chantes pour moi la tendre ritournelle
Et trace d’une image attisant tout écrit
Retrouve tous les mots pour charmer mon esprit.
Nul ne sait le chemin traversé, mon amour
Tu ne peux regretter l’ivresse un peu glamour.
Il nous faut s’épancher sur l’instant qui soupire
Nul ne sait le chemin traversé mon amour.
Couvre-moi de baisers dans le cou langoureux
Je sombre dans tes yeux, fidèle à ton sourire
Où je tombe parfois d’un désir vaporeux
Couvre-moi de baisers dans le cou langoureux.
Maria-Dolores
Elle est mon sourire ...Forme le sonnet à Refrains ...Création musique IA
Elle est mon sourire...
Je revois son sourire un retour sur la vie
Elle assoit sur mon cœur le plus beau souvenir
J’aimerais retrouver cet ange sans envie.
Elle avait, je le sais un superbe avenir.
Je revois son sourire un retour sur la vie.
Elle était si petite en ce matin d’hiver
D’un regard, j’aperçus une sublime étoile
Où mon âme sourit à cet être couvert
D’une robe vermeille et tout comme une toile
Elle était si petite en ce matin d’hiver.
Je revois sous le ciel cette parfaite lune
L’horizon l’enveloppe à l’ivresse fortune
Sous une forme ronde au bout de l’océan.
Je revois sous le ciel cette parfaite lune ;
Puis le charme éblouit son destin formidable
Nul ne doute jamais de trouver du néant
La mémoire s’éveille, Ô fille mémorable !
Puis le charme éblouit son destin formidable.
Maria-Dolores