Trivers Hugolien
Aux yeux de tendresse....Forme le trivers Hugolien...Image de Damien Barboni
Aux yeux de tendresse.
Au souffle de la vie on fuit l’ombre de Nyx
Et loin nous observons le vol du grand phénix
Nos êtres ébahis s’habillent d’une ivresse.
Que devient ce regard au sombre chant du temps ?
Où la saison repose en reliefs hésitants
Aux abords des forêts que le soleil caresse.
Puis c’est dans la tourmente au cœur de nos amours
Que le ciel nous éveille en visions glamours
Aphrodite a les yeux débordant de tendresse.
Maria-Dolores
Une ondée d'âme...Forme le Trivers Hugolien...Image sur le Net....
Une ondée d’âme…
Il fait jour, mais la pluie invite le jardin
Pour observer la rose à mourir de dédain
L’automne émeut la flore oh ! combien dénudée.
Mais l’orage déferle et son espoir chagrin
Suit son trait sous l’éther comme un triste refrain
Les délices du temps sont une âme évadée.
Quand le rimeur s’exprime en la plume des mots,
Que l’amour vient couler dans l’encrier des flots
Le poète finit de colorer l’ondée.
Maria-Dolores
Matin d'automne...Forme le trivers Hugolien (Victor Hugo)...Image sur le Net
Matin d’automne.
Ce matin il fait frais je garde à l’avenir
La douceur de nos mots, et j’ai pour souvenir
Le jardin recouvert d’une belle rosée.
Puis la fleur s’est fanée au début de saison
Une feuille sans bruit se pose à l’horizon
Et s’annonce l’automne en son âme posée.
Chaque jour un peu plus la lueur se fait nuit
Quand la lune se lève on évite l’ennui
Car l’amour dans nos cœurs est métamorphosée.
Maria-Dolores
Jardin d'ambre...Trivers Hugolien ...( Victor Hugo) Mise en page de Mohamed Zeïd dit Flormed sur Poésis.
Mise en page de Mohamed Zeïd
dit Flormed sur Poésis.
Jardin d’ambre
Le jardin s’est couvert d’un doux feuillage d’ambre
Me contant les amours au début de septembre
Existence enjouée au plaisir d’un goût miel.
Dans la nuit j’aperçois le halo de la lune
Qui chagrine au matin une rose bien brune
L’horizon se décline en la couleur du ciel.
Le soleil illumine une vague océane
Dont l’écume se vêt d’un voile diaphane
Et l’esprit ne se perd , temple existentiel.
Maria-Dolores