Le Rouet
L'envol...Forme le rouet...Crétion photofiltre
L’envol
Le vent couvre la plaine autour un ange vole.
De son aile transporte une âme dans le soir
Et ce regard étrange illuminé somnole
Il est vain de chercher cet illustre isoloir.
De son aile transporte une âme dans le soir
Le vent couvre la plaine autour un ange vole.
Ainsi s’en vont les cœurs devant un au-delà,
Ils réclament au ciel le pouvoir d’un sourire
On laisse derrière soi l’esprit d’un bel éclat
Car nul ne veut savoir si l’enfer est bien pire !
Ils réclament au ciel le pouvoir d’un sourire
Ainsi s’en vont les cœurs devant un au-delà !
Expliquez-moi plutôt cet envol d’une buse ?
Le souffle de votre âme a mille fois vingt ans.
Sous un fleuve tranquille évoquant une écluse
On ressent aussitôt l’appel des océans
Le souffle de votre âme à mille fois vingt ans
Expliquez-moi plutôt cet envol d’une buse ?
Maria-Dolores
Nostalgique...Forme le Rouet...Création personnelle
Nostalgique
Or, septembre est passé voici le bel automne
Mais l’été qui s’enfuit laisse un doux souvenir
D’un moment captivant, quand la folie étonne.
Il est mon bel aveu traversant l’avenir.
Mais l’été qui s’enfuit laisse un doux souvenir.
Or, septembre est passé, voici le bel automne.
Un mariage en août m’a redonné l’espoir
Il n’est jamais trop tard pour accomplir son rêve
La nuit a décuplé l’immensité du soir
Et les passants charmés par les chanteurs sans trêve,
Il n’est jamais trop tard pour accomplir son rêve
Un mariage en août m’a redonné l’espoir.
J’observe les photos d’une humeur nostalgique,
On se dit que plus rien ne peut nous aveugler.
Il est vite passé ce bonheur fort magique
Mais l’ivresse rapproche autant tout contempler
On se dit que plus rien ne peut nous aveugler.
J’observe les photos d’une humeur nostalgique.
Maria-Dolores
Écrire...Forme le Rouet...Création photofiltre
Écrire...
À dévoiler l’étoile où s’endort l’indolence
Tu resteras toujours mon aimé très joyeux
J’observe le silence autour de l’excellence
Et l’ange abandonné revient tard dans les cieux
Tu resteras toujours mon aimé très joyeux
À dévoiler l’étoile où s’endort l’indolence.
Il reste la douceur sous l’éclat du soleil
Car nul ne voit jamais le bonheur qu’il éprouve.
Il imagine un rêve aussi dès son réveil
Ignorant l’impossible or, du soupçon réprouve
Car nul ne voit jamais le bonheur qu’il éprouve
Il reste la douceur sous l’éclat du soleil.
Il court sur le vélin dès qu’il me faut écrire
Ces quelques vers soufflés du plus haut firmament.
Ma plume se dévoile oubliant que le pire
Est sur la page blanche en l’univers fumant
Ces quelques vers soufflés du plus haut firmament
Il court sur le vélin dès qu’il me faut écrire.
Maria-Dolores
Se retrouver...Forme le Rouet ...Création Photofiltre
Se retrouver
C’est un monde enchanteur quand je ferme les yeux
Je tremble en espérant retrouver l’élégance
D’un amour créateur bien au-delà des cieux
Seras-tu là mon cœur toujours dans le silence ?
Je tremble en espérant retrouver l’élégance
C’est un monde enchanteur quand je ferme les yeux.
Il est un grand chemin où parfois je me trouve
À regarder l’instant d’un automne vermeil
Septembre est revenu le soir du sort réprouve
Toute l’indifférence au matin dans l’éveil
À regarder l’instant d’un automne vermeil
Il est un grand chemin où parfois je me trouve.
Tu ne doutes de rien, épris nonchalamment
J’écoute ton souhait au travers d’un sourire
Retrouves-tu l’enfer au monde en mouvement ?
Car chaque fois, je fuis l’annonce d’un empire.
J’écoute ton souhait au travers d’un sourire
Tu ne doutes de rien, épris nonchalamment.
Maria-Dolores
Septembre l'automne ...Forme le rouet ...Création photofiltre
Septembre l’automne
Écoute mon ami le mistral caressant
Les arbres dévêtus, les feuilles parsemées ?
La saison se dévoile et l’instant oppressant
Vient convoiter l’esprit des âmes malfamées.
Les arbres dévêtus, les feuilles parsemées
Écoute mon ami le mistral caressant !
Me chavire l’automne aux rayons écarlates
Ses reflets sous la pluie enivrent d’une odeur
Puis septembre déroule aux ombres délicates
Sentez donc l’insolence au parfum de pudeur
Ses reflets sous la pluie enivrent d’une odeur
Me chavire l’automne aux rayons écarlates.
On dirait une fée aux chemins coutumiers
Posant sur la nature un coup de sa baguette
La métamorphosant aux regards routiniers
De petits animaux fuyant une tempête,
Posant sur la nature un coup de sa baguette
On dirait une fée aux chemins coutumiers.
Maria-Dolores