La chanson balladée
Le destin du cœur...Forme la petite chanson Balladée ...Image Pinterest
Le destin du cœur
Un tendre sentiment, vient s'ouvrir au bonheur
Qui ravit à l’instant cette vague amoureuse
Dont l’âme aventureuse
A laissé dans le vent le destin de son cœur.
On hume la fragrance où s’endort une rose
Dépeignant une prose
Dans ce doux souvenir quand revient son ardeur.
Elle garde en secret l’avenir du poète
Ô muse désuète !
Naît l’oubli dans son être un regret de pudeur.
Érato sait nourrir cet aède sans peur
L’inspirant sur la toile en houle vigoureuse
Elle aime langoureuse
Le plaisir d’un esprit où danse sa grandeur.
Un tendre sentiment, vient s'ouvrir au bonheur
Qui ravit à l’instant cette vague amoureuse
Dont l’âme aventureuse
A laissé dans le vent le destin de son cœur.
Maria-Dolores
J'ai tout oublié....Forme la grande chanson Balladée ...Image Pinterest
J’ai tout oublié…
J’ai perdu la mémoire enivrante chimère
Qui me pousse à meurtrir une ombre dans la nuit
Quand la lune convoite un silence à minuit
Je tiens tous les soirs un voile éphémère
Je n’écoute plus rien quand le monde s'enfuit
Sinon le doux déclin que déverse l’ennui
Je connais la rancœur d’un destin téméraire.
Me voici dépourvu de ce rêve d’ivresse
Que souhaite le temps qui me caresse
Dès que l’obscur s’endort vers la source d’espoir.
J’observe ce regard qui me laisse pantoise
Quand l’ondée a rendu l’âme courtoise
Je concède un chemin dans ce grand laminoir.
J’ai gardé dans mon cœur ce désir d’être mère
Telle bête à l’affût que le ciel a réduit
Dans le ru de mon antre au revers de l’oubli,
Quand chacun goûte une liqueur amère
On évite à regret la fragrance aujourd’hui
Dans le vent, je ressens ce trésor que séduit
Mon instinct dessinant ce souffle planétaire.
J’ai perdu la mémoire enivrante chimère
Qui me pousse à meurtrir une ombre dans la nuit
Quand la lune convoite un silence à minuit
Je tiens tous les soirs un voile éphémère
Je n’écoute plus rien quand le monde s'enfuit
Sinon le doux déclin que déverse l’ennui
Je connais la rancœur d’un destin téméraire.
Maria-Dolores
Une vie à l'horizon...Forme la moyenne Chanson Balladée ...Image Pinterest
Une vie à l’horizon
L’océan et le ciel nous tracent l’horizon
Sur sa face huilée éveillant la saison
On respire en amont dans le silence
Cette senteur d’iode où règne l’excellence.
La vie est cet aveu qui brûle sans raison.
Sous la lune éclairant les soupirs d’une femme.
On observe de loin ladite flamme
Lorsque le crépuscule embellit chaque soir.
Sous l’éther on perçoit dans sa belle caresse
Le soleil endormi d’une tendresse
Révélant dans la nuit ce destin aussi noir.
On grave sur la plage un espoir d’oraison
Une douce prière en triste pâmoison
Souligne cet exploit d’obéissance
Que dévoile le temps d’une belle fragrance
Car le monde est couvert de toute floraison.
L’océan et le ciel nous tracent l’horizon
Sur sa face huilée éveillant la saison
On respire en amont dans le silence
Cette senteur d’iode où règne l’excellence.
La vie est cet aveu qui brûle sans raison.
Maria-Dolores
Vacances en confidences ....Forme la petite Chanson Balladée ...photo promenade des Anglais
Vacances en confidences…
Chaque Été, nous voulons ce soleil
Ravivant dans nos cœurs les vacances
Et de goûter au sommeil
Le matin en belles confidences.
On aime aussi l’instant estival
Que l’on retient triomphal
On abreuve le temps de tendresse.
Mais s’élève une voix de dépit
En ces amours sans répit
La haine percevant la détresse.
On regrette souvent ces instances
Qu’imagine un rimeur d’un éveil
Que ruinent les circonstances
Dès, lors redoublant d’un bon conseil.
Chaque Été, nous voulons ce soleil
Ravivant dans nos cœurs les vacances
Et de goûter au sommeil
Le matin en belles confidences.
Maria-Dolores
Liberté poétique d' été....Forme la grande Chanson Balladée ...Image Pinterest
Liberté poétique d’été
On connaît l’univers aux couleurs de l’été
Quand l’astre dans le ciel vient briller de sa flamme
Révélant la chaleur dans la froideur d’une âme
Que ravit la saison de volupté
On écoute parfois le chant sous l’oriflamme
Nul ne veut plus apprendre un plus grand mélodrame
Et vient nourrir sans faim sa chère liberté.
La nature a posé son regard sur la vie
Sous la canicule, on signe en survie
Et meurent le matin quelques épis de blé
Maintenant, que l’instant sème une poésie
La muse prône une philosophie
Ameutant tout rêveur qui se sent accablé.
Le poète a pour l’heure en toute vérité
La douceur que chérit l’aisance d’une femme
Qui rougit avec soin à l’ombre que l’on clame
A troublé le jour de ténacité
Quand l’aube immaculée a charmé notre dame
Il lui faut oublier cet écrit d’un calame
Partageant sur la page une finalité.
On connaît l’univers aux couleurs de l’été
Quand l’astre dans le ciel vient briller de sa flamme
Révélant la chaleur dans la froideur d’une âme
Que ravit la saison de volupté
On écoute parfois le chant sous l’oriflamme
Nul ne veut plus apprendre un plus grand mélodrame
Et vient nourrir sans faim sa chère liberté.
Maria-Dolores