POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

Le Malhoun


Le temps d'un souvenir....Forme le Malhoum...Création photofiltre

Le temps d\\\'un souvenir

 

 

 

Le temps d’un souvenir

 

J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise

Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir

 

Dans l’ivresse décor qui charme tout l’été

Je vois cet océan qui sur le roc se brise

Et valse dans la mer un superbe espadon

J’observe loin du bord ce bateau sous l’emprise

D’un grand orage où l’œuvre est de Poséidon.

 

J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise

Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir.

 

Nul ne savait pourquoi ? Cet aveu, l’affecté.

Lui le corsaire ô grand pirate, honte avenir.

Fallait-il pour drapeau ramener toute gloire ?

Car cet instant trop noir sonne sans prévenir

Ce chemin laisse une âme au souffle d’une histoire.

 

J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise

Pour partager l’hiver le temps d’un souvenir.

 

Je comprends que la nuit on se sent hébété

À charmer ce fantôme il espère sans crise

Entendre la sirène et frémir sous le ciel

Comme un chant éphémère où la mort est de mise

J’éveille le silence au doux chemin de miel.

 

J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise

Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir.

 

Je divague aujourd’hui, d’un esprit entêté

Même si Séléné brille sans prévenir

Le tombeau du marin dans ce rêve se pose

L’illusion d’enfant qui songe au devenir

Or l’ondine est déjà dans l’ombre d’une rose.

 

J’aime la mer  huileuse ô fée en douce brise

Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir.

 

Maria-Dolores


18/05/2023
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Aveu....Forme le Malhoum...Création Photofiltre

Aveu

 

 

 

 

 

Aveu

 

Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?

Où vient naître la foi dans cet aveu désir.

 

J’écoute dans le soir une vague musique

Qui  devine mon cœur quand dort le souvenir

J’aimerais te donner un nom dans l’avenir

Pour qu’enfin l’on nous siée en bon réveil magique.

 

Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?

Où vient naître la foi dans cet aveu désir.

 

Il serait temps l’ami de vouloir par plaisir

Sur mon chemin passé, renaître d'une rose

Qui comme par défaut la muse sert la prose

Voulant se dévoiler afin de tout choisir.

 

Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?

Où vient naître la foi dans cet aveu désir

 

En fable,  je croyais qu’elle était maléfique

À tant vouloir souffrir j’en oubliais le sort

Qui faisait de ton âme un défi le plus fort

Car ton amour mon fils est bien le plus logique.

 

Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?

Où vient naître la foi dans cet aveu désir.

 

Je sais le reconnaître et ce tout à loisir

Qu’il me faut accepter en moi cette folie

Où l’essence est surtout même une poésie

Qui charme d’un sourire au fond pour vous choisir.

 

Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?

Où vient naître la foi dans cet aveu désir.

 

Maria-Dolores


05/05/2023
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Vivants d'amour...Forme le Malhoun...Création Personnelle Photofiltre Studio

 

 

 

Vivants d’Amour !

 

Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;

Amour volage !

 

La dérision fait tous ces bonheurs

Qu’elle enjolive,

Dans sa dérive

À l’ennui parfumant sur ces odeurs,

 

Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;

Amour volage !

 

Sans un nuage

Que seraient les instants de ces rayons,

Au soleil illuminant les sillons

Du noir message.

 

Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;

Amour volage !

 

Nous sommes parfois de quelques malheurs.

De récidive

La vie active,

N’oublions pas tous ces laids trimardeurs…

 

Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;

Amour volage !

 

Âme esclavage

Libérée à l’éclair des visions

Où naissent de ces désillusions

D’un fort adage

 

Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;

Amour volage !

 

Maria-Dolores

 

 

 


07/01/2019
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Sous pulsions d'émotions...Forme le Malhoun...Création Personnelle Photofiltre Studio

 

 

 

Sous pulsions d’émotions…

 

La complicité s’ose exposant la parole

L’intimité des corps à la sensation,

 

Nul n’instruit plus ce monde à ce cœur qui s’immole

Quand l’amour sent flétrir une invitation,

Démones nuits, vibrant que fut ma passion ?

N’ébruitant sa faiblesse à ce sort lui survole ;

 

La complicité s’ose exposant la parole

L’intimité des corps à la sensation,

 

Et que puise notre âme abritant l’auréole

Suivant son pas feutré d’une création

Libère sous les doigts, cette oscillation

Dont la clarté s’émeut et du rêve s’envole.

 

La complicité s’ose exposant la parole

L’intimité des corps à la sensation.

 

À d’autres j’ai donné ce qui n’est qu’un symbole ;

Sauront-ils écouter ma voix sous pression ?

Entendu puis compris ; Silence émotion !

Je parcours mon chemin comme une farandole…

 

La complicité s’ose exposant la parole

L’intimité des corps à la sensation.

 

Quand enfin vers le tard dans ce plumier m’isole

 Sur le vélin perlé traçant l’instruction

Sauriez-vous reconnaître en nulle intention

Votre vœu pour image en folle parabole :

 

« La complicité s’ose exposant la parole

L’intimité des corps à la sensation ».

 

Maria-Dolores

 


23/12/2018
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Osez...Elle fume ! Forme le Malhoun...Création Personnelle Photofiltre Studio.

 

Osez …Elle fume !

 

Elle se consume en cette fumée

Mon addiction

 

Elle fut une copine humée,

Sans abonnement

Du premier moment

Puis du temps elle loge accoutumée

 

Elle se consume en cette fumée

Mon addiction

 

L’abdication

Et que ne devint d’elle une promesse

Réitérée en vœux de ma prêtresse

Sa suggestion

 

Elle se consume en cette fumée

Mon addiction

 

Dès le matin cette odeur est blâmée

Nul ménagement

Oser lentement

La sérénité n’est pas présumée

 

Elle se consume en cette fumée

Mon addiction

 

En conviction

Sûr qu'elle s’éternise en la faiblesse

Dans la vision ma seule détresse

Sans prétention

 

Elle se consume en cette fumée

Mon addiction

 

Maria-Dolores

 


21/12/2018
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