Le Malhoun
Le temps d'un souvenir....Forme le Malhoum...Création photofiltre
Le temps d’un souvenir
J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise
Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir
Dans l’ivresse décor qui charme tout l’été
Je vois cet océan qui sur le roc se brise
Et valse dans la mer un superbe espadon
J’observe loin du bord ce bateau sous l’emprise
D’un grand orage où l’œuvre est de Poséidon.
J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise
Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir.
Nul ne savait pourquoi ? Cet aveu, l’affecté.
Lui le corsaire ô grand pirate, honte avenir.
Fallait-il pour drapeau ramener toute gloire ?
Car cet instant trop noir sonne sans prévenir
Ce chemin laisse une âme au souffle d’une histoire.
J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise
Pour partager l’hiver le temps d’un souvenir.
Je comprends que la nuit on se sent hébété
À charmer ce fantôme il espère sans crise
Entendre la sirène et frémir sous le ciel
Comme un chant éphémère où la mort est de mise
J’éveille le silence au doux chemin de miel.
J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise
Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir.
Je divague aujourd’hui, d’un esprit entêté
Même si Séléné brille sans prévenir
Le tombeau du marin dans ce rêve se pose
L’illusion d’enfant qui songe au devenir
Or l’ondine est déjà dans l’ombre d’une rose.
J’aime la mer huileuse ô fée en douce brise
Pour partager l’hiver, le temps d’un souvenir.
Maria-Dolores
Aveu....Forme le Malhoum...Création Photofiltre
Aveu
Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?
Où vient naître la foi dans cet aveu désir.
J’écoute dans le soir une vague musique
Qui devine mon cœur quand dort le souvenir
J’aimerais te donner un nom dans l’avenir
Pour qu’enfin l’on nous siée en bon réveil magique.
Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?
Où vient naître la foi dans cet aveu désir.
Il serait temps l’ami de vouloir par plaisir
Sur mon chemin passé, renaître d'une rose
Qui comme par défaut la muse sert la prose
Voulant se dévoiler afin de tout choisir.
Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?
Où vient naître la foi dans cet aveu désir
En fable, je croyais qu’elle était maléfique
À tant vouloir souffrir j’en oubliais le sort
Qui faisait de ton âme un défi le plus fort
Car ton amour mon fils est bien le plus logique.
Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?
Où vient naître la foi dans cet aveu désir.
Je sais le reconnaître et ce tout à loisir
Qu’il me faut accepter en moi cette folie
Où l’essence est surtout même une poésie
Qui charme d’un sourire au fond pour vous choisir.
Est-il plus grand attrait, que dans cet air lyrique ?
Où vient naître la foi dans cet aveu désir.
Maria-Dolores
Vivants d'amour...Forme le Malhoun...Création Personnelle Photofiltre Studio
Vivants d’Amour !
Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;
Amour volage !
La dérision fait tous ces bonheurs
Qu’elle enjolive,
Dans sa dérive
À l’ennui parfumant sur ces odeurs,
Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;
Amour volage !
Sans un nuage
Que seraient les instants de ces rayons,
Au soleil illuminant les sillons
Du noir message.
Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;
Amour volage !
Nous sommes parfois de quelques malheurs.
De récidive
La vie active,
N’oublions pas tous ces laids trimardeurs…
Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;
Amour volage !
Âme esclavage
Libérée à l’éclair des visions
Où naissent de ces désillusions
D’un fort adage
Qu’avez-vous ? Ô pleurs, déni dans vos cœurs ;
Amour volage !
Maria-Dolores
Sous pulsions d'émotions...Forme le Malhoun...Création Personnelle Photofiltre Studio
Sous pulsions d’émotions…
La complicité s’ose exposant la parole
L’intimité des corps à la sensation,
Nul n’instruit plus ce monde à ce cœur qui s’immole
Quand l’amour sent flétrir une invitation,
Démones nuits, vibrant que fut ma passion ?
N’ébruitant sa faiblesse à ce sort lui survole ;
La complicité s’ose exposant la parole
L’intimité des corps à la sensation,
Et que puise notre âme abritant l’auréole
Suivant son pas feutré d’une création
Libère sous les doigts, cette oscillation
Dont la clarté s’émeut et du rêve s’envole.
La complicité s’ose exposant la parole
L’intimité des corps à la sensation.
À d’autres j’ai donné ce qui n’est qu’un symbole ;
Sauront-ils écouter ma voix sous pression ?
Entendu puis compris ; Silence émotion !
Je parcours mon chemin comme une farandole…
La complicité s’ose exposant la parole
L’intimité des corps à la sensation.
Quand enfin vers le tard dans ce plumier m’isole
Sur le vélin perlé traçant l’instruction
Sauriez-vous reconnaître en nulle intention
Votre vœu pour image en folle parabole :
« La complicité s’ose exposant la parole
L’intimité des corps à la sensation ».
Maria-Dolores
Osez...Elle fume ! Forme le Malhoun...Création Personnelle Photofiltre Studio.
Osez …Elle fume !
Elle se consume en cette fumée
Mon addiction
Elle fut une copine humée,
Sans abonnement
Du premier moment
Puis du temps elle loge accoutumée
Elle se consume en cette fumée
Mon addiction
L’abdication
Et que ne devint d’elle une promesse
Réitérée en vœux de ma prêtresse
Sa suggestion
Elle se consume en cette fumée
Mon addiction
Dès le matin cette odeur est blâmée
Nul ménagement
Oser lentement
La sérénité n’est pas présumée
Elle se consume en cette fumée
Mon addiction
En conviction
Sûr qu'elle s’éternise en la faiblesse
Dans la vision ma seule détresse
Sans prétention
Elle se consume en cette fumée
Mon addiction
Maria-Dolores