POEMES DE MARIDO TOUTES FORMES

Julie,

J’aime observer dans ton regard

Un souffle éveillant ta sagesse

Laissant comme un désir sans fard

Imaginant belle princesse

Espoir d’un petit être à part….

Maria-Dolores

Élodie,

Écoutez, belle dame à la douceur d’une âme

Louant ce doux poème écrit pour ce beau jour.

Ô ! Princesse des mains qui courtisent la flamme

Daignez lire mes mots dans l’émoi d’un retour

Il reste ce bonheur devenant ce mystère

Espoir, joie et santé pour votre anniversaire.

Maria-Dolores

Printemps

Puise à la belle source une larme de rose

Ranimant la chaleur aux couleurs du printemps,

Illumine le charme au doux vent qu’il expose

Nul ne tient pour valeur le bonheur dans le temps

Tant que la lune blanche émeut dans le silence.

Entonne musicien un air de violon !

Magnifique oraison  au chant de l’excellence

Pour éblouir l’instant en vague résonnance,

Souhaitant le matin égayer le vallon.

Maria-Dolores

Le vent dans tes cheveux

Laisse l’espoir porter le souffle de la vie

En rythme interrompu de ce parfum d’amour

Voulant sous la lisière ouvrir un champ glamour

Entonnant le matin un brin de fantaisie.

Notre désir s’envole en ce temps imparfait

Toujours à regretter les instants de délices

Devant ton air grivois je poursuis les prémisses

Amour es-tu toujours d’un monde stupéfait.

Nouant à l’infini ta parure d’ébène

S’offrant une saison d’un éternel présent

Tant le silence est grand dans l’oubli du gisant

Et traçant le chemin saisissant cette aubaine.

Sous la lune inventive en ce grand firmament

Coulant des jours heureux dans l’onde d’une ivresse

Harmonisant l’aède au ru d’une tendresse

Es-tu pourtant la muse au lys l’avènement ?

Viens donc te recoiffer d’un joli diadème,

En roulant sous tes doigts tes doux et fins cheveux

Unissant dans la tresse un fil d’or pour nos vœux

Xir la troublante brune est du tourbillon même …

Maria-Dolores

https://www.cordial.fr/dictionnaire/definition/xir.php

Xir alchimie, noir…

Acrostiche ;

RÉGIS et MATHIAS,

Retour dans ce passé je me souviens du temps,

Et toi  je te retrouve ô mon cher petit frère !

Généreux mon complice aux creux de nos instants

Immerge-moi ce rêve au jour crépusculaire,

Sagement  il revient de mes vœux crépitants.

&

Marche l’ami d’un pas vers la douce harmonie !

Ainsi va le refrain de nos cœurs incertains

Trouvant dans tes  mots fiers ta grande âme bénie

Hantés par ton absence ô rires enfantins

Inspirant le poète en rime définie

Annonceurs d’une  année et de longs baratins

Soulagent la pensée en parole infinie.

Maria-Dolores