Pleurs des hivers...Forme le Virelai...Image sur le Net.
Pleurs des hivers
À la douce saison parfumant la bohème,
Dans le jardin d’Éden bien loin dans l’univers,
Les cœurs venaient nourrir l’amour que chacun sème.
Oh ! triste chant l’été brisant tous ces travers.
Je voudrais te revoir toi mon ami que j’aime,
Au vent léger fuyant tous les pleurs des hivers.
Le poète s’éveille en sa lueur suprême,
Il dépeint sa journée au rythme de ses vers,
Dans la mélancolie au creux de son poème,
Laissant, l’instant, courir au pli de ses revers.
Je voudrais te revoir toi mon ami que j’aime,
Au vent léger fuyant tous les pleurs des hivers.
Dans le plus grand secret, le culte a son extrême
Au fil du temps il vit bien d’autres faits divers.
On pense aux souvenirs sans le moindre problème,
Le destin que l’on suit n’a plus rien de pervers.
Je voudrais te revoir toi mon ami que j’aime,
Au vent léger fuyant tous les pleurs des hivers.
Maria-Dolores
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