O ciel, forme la balladine.
O ciel,
O ciel louant l’indifférence
Tout s’éteint d’instinct, l’apparence.
Lors Ra ne puise une lueur
Et sur l’aurore étend ses larmes
Le ciel pleure et nul n’a plus d’armes
Je me souviens d’un temps rieur.
O ciel louant l’indifférence,
Je me préserve sur l’instance,
Un trait de muse, la primeur,
Sur la page que j’interroge
Aux sons vibrants d’un seul éloge,
Je me souviens d’un temps rieur.
O ciel louant l’indifférence
En pluie illusoire assurance,
A couvrir l’heure sur son cœur
Je ne suivrais plus tout l’étrange
Que gagne la dame en louange
Je me souviens d’un temps rieur.
O ciel louant l’indifférence,
Au crépuscule en l’espérance,
Le gris sillonne un vers rimeur
Comme l’encens dans une église
Soufflant le froid, telle banquise,
Je me souviens d’un temps rieur.
Maria-Dolores
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