Souvenirs...Forme le quatrain glossé en sonnet de Vénusia.
Souvenirs
Souvenirs, souvenirs d'un temps assez lointain
Dont les siècles filant ne peuvent en poussière
Réduire la clarté car c'est de leur lumière
Que le miroir de l'avenir détient son tain.
Sur les vers de Flormed…
Lorsque je réfléchis souvent à ce destin,
Le silence me suit sous la voûte céleste,
Affligeant un soupir sur une âme funeste,
Souvenirs, souvenirs d’un temps assez lointain.
Ils ne suivent jamais le lit d’une rivière,
Ils débordent parfois emportant d’une crue
Le cœur et cet instinct. Nul ne se noie ou rue,
Dont les siècles filant ne peuvent en poussière
Emporter sous sa coupe un des plus grands bonheurs,
Sous l’étoile écarlate enchanter les senteurs
Réduire la clarté car c’est de leur lumière
Que naîtra son sourire à l’instant incertain,
Dévoilant au reflet une simple prière,
Que le miroir de l'avenir détient son tain.
Maria-Dolores
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