Ô printemps...forme le sonnet Shakespearien...
Ô ! Printemps
Elle voudrait muser au long de la journée,
Hélas elle ne peut choisir entre deux vœux,
Rester dans la maison, flâner de ses aveux
De saison, quand la rose éclot en chaque année.
Ô douceur de la nue épanche toi géant,
Mets sur elle ton phare à ce grand crépuscule,
Quand l’éther s’éclaircit par un rai minuscule
Dame lune s’endort au creux de l’océan.
Le soleil est ce cœur où convole son âme
Sous sa douce chemise elle sent la chaleur
En ce temps d’espérance où se pare en couleur
Une flore éperdue enlaçant cette flamme ;
Le printemps cherche encore un défilé d’amours
Aux paisibles passants leur offrant ses atours.
Maria-Dolores
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