Je peine...la villanesque.
Je peine
Je peine à m’accrocher au rythme des saisons
Que je vois défiler à chaque jour dès l’aube
Qui revêt peu de chose où le ciel se dérobe.
À ne broyer du noir bien plus que de raisons
L’histoire enfin se conte au puits que tout englobe,
Qui revêt peu de chose où le ciel se dérobe.
J’ai pansé la blessure, où sont tous les blousons ?
Les morts dans la souffrance ont eu ce vieux microbe
Qui revêt peu de chose où le ciel se dérobe.
On ne réfléchit plus quand vient aux horizons
La mort enfin flétrit, reprend sa vieille robe,
Qui revêt peu de chose où le ciel se dérobe.
Maria-Dolores
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